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    • Asmondya

      Sécurisez votre compte Firestorm   04/03/2023

        Sécurisez votre compte Firestorm   Dans ce post, nous allons vous donner quelques bonnes pratiques afin de renforcer la sécurité de votre compte Firestorm.
      Pour rappel, votre compte est sous votre responsabilité, et vous êtes en mesure de le protéger sans que cela vous prenne plus que quelques minutes: pas cher payé pour se protéger des "hackeurs" et autres arnaques, non ?       Étape 1: Ajoutez un Authenticator (Authentificateur) La vérification en 2 étapes (ou 2FA) est extrêmement importante, et nous ne pouvons que vous conseiller de l'activer: C'est la meilleure des protections, et également un bon réflexe à prendre pour protéger vos autres données: chaque nouvelle connexion sur votre compte depuis un nouvel emplacement nécessitera un code que seul vous aurez. Comment l'activer: Ouvrez votre page de gestion d'authenticator sur le site. Cliquez sur "Activer mon authenticator". Téléchargez l'application Authy (meilleur que Google Authenticator). Vous pouvez en apprendre plus ici. Une fois l'application téléchargée, scannez le QR code ou rentrez le code généré par l'application manuellement. Votre Authenticator est activé! Vous devrez donc renseigner le code fourni par l'application à chaque connexion depuis un nouvel emplacement. Téléchargez les codes de récupération: Ça peut toujours servir!     Note: Une fois votre compte créé, n'oubliez pas de vérifier votre adresse mail. Sans ça, n'importe qui ayant accès à votre compte pourra en modifier l'adresse mail, et même le mot de passe.   Étape 2: Utilisez un mot de passe fort / complexe N'utilisez pas de mots du dictionnaire, mais de préférence une suite de caractères (lettres, chiffres, symboles) que vous seul connaissez. Une autre alternative consiste à choisir une phrase entière que seul vous connaissez, puis remplacez certaines lettres par des symboles (E -> 3, A -> 4, a -> @, etc) plus le mot de passe est long, plus il est difficile à trouver. N'utilisez ce mot de passe que sur Firestorm. De manière générale, essayez de ne jamais utiliser le même mot de passe sur différents sites. Des solutions, telles que KeePass existent, et peuvent s'avérer un excellent choix si vous avez du mal à retenir plusieurs mots de passe. Il s'agit d'un gestionnaire de mots de passes. Ne notez votre mot de passe nulle part ! Pas sur votre téléphone, pas sur votre ordinateur, ni au dos de votre liste de courses !       Étape 3: Sécurisez votre ordinateur Scannez votre ordinateur fréquement afin d'éliminer les malware, keyloggers et autres virus. Faites les mise à jour système lorsqu'elles sont disponible: n'attendez pas plusieurs semaines, car elles contiennent souvent d'importantes amélioration de sécurité. Si possible, faites en sorte d'être le seul à vous servir de votre ordinateur.       Étape 4: Amis & Famille ? Partager votre compte Firestorm avec vos amis, ou votre famille est fortement déconseillé: moins il y a de personnes qui connaissent vos identifiants, mieux c'est pour la sécurité de votre compte. Essayez d'adopter ces bonnes pratiques: Fermez votre session / déconnectez vous de Firestorm lorsque vous vous éloignez de votre ordinateur Ne divulguez pas vos mots de passe à vos amis / famille, et ne les laissez pas acceder à votre téléphone qui contient votre application Authy.       Récapitulons: Choisissez un mot de passe fort, unique, que seul vous connaissez. Vérifiez votre adresse mail, et installez un authenticator (de préférence Authy). Ne cliquez sur aucun lien douteux, et gardez votre ordinateur en "bonne santé" en le scannant régulièrement pour le protéger contre les virus & malwares. Aucun membre du staff ne vous demandera votre mot de passe. Ne le divulguez JAMAIS. Ne partagez votre compte avec personne, pas même des amis ou de la famille. Tous ces conseils sont dans votre intérêt, afin que personne ne vous vole quoi que ce soit, et que votre compte reste le votre !       FAQ: Question: J'ai perdu l'accès à mon authenticator, et je n'ai pas mes codes de récupération, que faire ? Réponse: Vous pouvez faire un ticket sur le support en fournissant le plus de preuves possibles que le compte vous appartient. Question: Quelqu'un m'a "hack" et a supprimé mes personnages et items. Réponse: Pour ce qui concerne les personnages, vous pouvez les restaurer sur la boutique, mais on ne pourra rien faire de plus: votre compte est sous votre responsabilité, c'est pour cela qu'il vous faut le protéger ! Question: Quelqu'un m'a volé mon compte, que faire ? Réponse: Techniquement, nous ne pouvons rien faire pour vous, comme expliqué dans cet article. Vous pouvez toujours faire un ticket sur le support en fournissant le plus de preuves possibles que le compte vous appartient.  
      L'Équipe Firestorm France
    • Asmondya

      L'équipe Firestorm France   04/03/2023

          Voici les membres des différents pôles de l'équipe Firestorm France    Veuillez noter qu'aucun membre du staff ne vous demandera votre mot de passe !    
    • Asmondya

      Liste des instances disponibles sur Oribos   05/03/2023

      Voici la liste des instances disponibles sur le royaume Oribos (Shadowlands) Nous savons que beaucoup d'entre vous aiment passer du temps sur les anciens contenus. Nous les avons donc tous testés et avons établi une liste avec l'état de chaque instance (fonctionne entièrement, partiellement, pas du tout). Cependant, a chaque patch, mise à jour ou correctif, il se peut qu'une d'entre elles soit affectée. Nous vous invitons donc à répondre à ce post si vous jugez qu'une des instances a changé. Par exemple : Suite à un patch, une instance qui fonctionnait entièrement a changé et un boss n'est plus faisable. Il vous suffit dans ce cas de nous le notifier en réponse au post et nous irons faire de nouveaux tests sur l'instance, puis en fonction de nos résultats nous vous répondrons et mettrons la liste à jour.  
Brundror

Les Contes Macabres.

9 messages dans ce sujet

[HRP] Ce texte est le premier d'une longue série (j'espère) qui regroupera normalement tout mes BG morts-vivants et des histoires sur le même thème sans attaches particulière. Donc ici, le premier chapitre du BG de Duncan, mon mort-vivant, c'est court mais je me suis bien amusé à le faire. Bonne lecture ! 

 

De vie à non-mort.

 

Tout commença par une lueur verdâtre, plongeant le lieu sombre dans une ambiance glauque, presque morbide. Une lumière, qui, comme le non-mort le vit quand il releva les yeux, venait de grandes cuves d'acier noir dans lesquels baignait un liquide de couleur fluorescente. Ce liquide semblait absorber la lumière des torches pour la faire rejaillir plus faible. Autour de ces cuves, de ce liquide, le nouveau non-mort pu voir enfin la pièce dans laquelle il se trouvait. De longues tables de travail étaient réparties de manière aléatoire autour des murs de pierre sombres, des tables remplies de diverses fioles, livres et nécessaire alchimiques. Au centre de la pièce, à peine éclairé, pendait un gigantesque croc de boucher dont la pointe semblait déjà empreinte de sang coagulé. Appuyées sur les murs ou pendant à de solides chaînes aux maillons d'acier, des cages sinistres prenaient le peu de place qui restait dans la pièce de taille moyenne.

Dans toute la pièce régnait une désagréable odeur de sang séché, de chair abîmée, d'os brisés. Une odeur pestilentielle, froide et inquiétante, à laquelle se mêlaient des relents de décomposition avancée et de moisissure. Tout ici transpirait la mort, suintait la peur, empestait le sang.

Tout ici était répugnant. Duncan, qui venait d'ouvrir les yeux pour voir se spectacle macabre, entendit enfin les premiers bruits.

Des claquements de langue répugnants, des rires rauques et des cris. Des hurlements de terreur, de douleur, de détresse et d'agonie se répercutaient en échos glacés sur les murs, tandis que les rires des geôliers décomposés ; des rires gutturaux, froids, brutaux, sans chaleur aucune, résonnaient et semblaient former un cœur unique destiné à anéantir tout espoir dans l'esprit des prisonniers.

Car maintenant, le nouvel arrivant en était sûr, il était ici en prison. Pour quelles méfaits, aucune idée, toujours était-il que les barreaux de la cages auxquels il s'accrochait désespérément, plus par réflexe qu'autre chose, lui cisaillaient la chair décomposée de ses mains. Sans faire couler le sang, l'acier rongeait ses peaux, les réduisaient en lambeaux, infligeant une douleur atroce à Duncan, qui retira ses mains en comprenant que ce geste les lui ôterait s'il s'acharnait.

Il sentait le sol froid lui brûler les pieds, tandis que la température ambiante lui gelait ses côtes dépourvues de chair.

Tout ici semblait être un danger et vouloir le tuer. Même son propre corps, jadis rendu puissant et résistant par de nombreuses batailles, semblait aujourd'hui faible. En s'inspectant, il se voyait dépourvu, les os à nu ou recouverts d'un filet de peau putréfiée. Il ne comprenait pas comment il tenait debout, comment il pouvait ressentir toutes ces choses mais surtout, comment malgré son apparence, il pouvait être encore si « vivant ».

Ces questions faisaient trembler son crâne, qui semblait comme un enclume battu à mort par une horde de forgerons hargneux. Cette impression et cette douleur étaient accompagné d'une terreur sourde, une peur profonde qui le faisait trembler de tous ses membres, une peur de l'inconnu, peur de la douleur et de la mort, peur de lui-même et de son apparence, et peur de cet endroit à l'allure si infernale.

Un crâne se pencha sur lui. Une tête dont la partie gauche tenait dans ses chairs pâles et mortes qui entouraient ainsi l'orbite d'un œil torve au regard vide et une moitié de sourire absolument horrifique, un sourire glacé, qui semblait se repaître de la terreur et de la souffrance. Une tête dont la partie droite semblait inanimé, figée dans le temps, les os immobiles, la mâchoire à nue, l'orbite vide, le front entaillé de toute part, et la joue vide.

Ce mélange de vie et de mort, de chair et d'os, ce mélange digne des pires contes des vivants eut pour effet de faire sombrer Duncan dans les limbes de l'inconscience, qui offrit sans retenu son esprit à cette délivrance bienvenue.

Modifié (le) par Brundror
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Hmm, c'est glauque tout ça. J'adore ! Par contre, si je peux me permettre, relis-tooooooiiiii ! Il y a plein de petites fautes bêtes que tu peux éviter du genre :

Il y a 2 heures, Brundror a dit :

Pour quelles méfaits

Bon, j'exagère, ça se lit très bien. J'aime bien la façon dont tu écris, sans vraiment donner de définitions du lieu, seulement des descriptions, ni trop de sentiments... Ça rajoute à la terreur de notre Duncan. Bravo et la suite ! 

Modifié (le) par Elanaria

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Sympa !

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[HRP] Premier chapitre corrigé, voilà le second. 

 

De vie à non-mort. 2.

 

L'Apothicaire Voris se baissa sur le nouveau, le lorgnant d'un regard curieux et composant sur son visage l'expression la plus chaleureuse possible.

La réaction du mort-vivant en cage ne se fit pas attendre, et il s'évanouit curieusement, laissant l'apothicaire perplexe. Son visage n'était certes pas spécialement rassurant, mais le chimiste n'avait jamais vu les émotions et les sensations si bien conservés chez un patient. Fascinant.

Il sortit une petite clé de fer rouillée d'une poche de sa grande robe de travail noir, puis, l'inséra dans la serrure de la cage. Une fois la porte ouverte, l'apothicaire se retourna dans la salle, et mit ses mains griffues en porte-parole.

 

- Axo ! Appela-t-il, sa voix se répercutant sur les murs, les autres apothicaires ne relevant même pas la tête pour le regarder.

 

D'un coin dissimulé dans l'ombre sortit une créature. C'était un mort-vivant pas comme les autres, son allure de mastodonte tranchait de manière étrange avec son air niais. Il était très grand et semblait recousu en bien des endroits. On pouvait voir les différentes couleurs des peaux qui le composait, toutes à un état différent de putréfaction. Ainsi, si ses cheveux noirs courts encadraient un visage blême, les muscles de ses bras étaient presque visibles sous une fine peau bleutée. Son torse nu était répugnant, on aurait du l'œuvre de folie d'un peintre à l'imaginaire morbide. Toute les couleurs de la décomposition étaient représentées sur ce torse, du blanc au vert en passant par des tons presque noirs. La seule harmonie dans tout ça était le fil rouge qui reliait chaque raccommodage de cet être. Il portait pour tout vêtement un pantalon de jute qui lui arrivait aux chevilles, et des brassards d'aciers, comme des menottes brisées qui lui ceignaient les poignets comme à un évadé de prison.

Il s'approcha de l'apothicaire, les yeux étrangement baissés, un air de frayeur sur le visage, alors que sa masse aurait permit de briser le cou de Voris d'une simple torsion.

 

-Allez mon mignon, porte moi ce patient jusqu'à une table de travail.

 

La bête s'exécuta, docile, et passa difficilement la tête et les bras dans la cage pour empoigner le corps de Duncan au niveau des aisselles et le sortir sans ménagement de sa minuscule prison. Le mort-vivant émotif fut vite posé sur une table à l'écart des autres, après que le chimiste ait fait de la place. Tandis que le non-mort au visage effrayant se penchait sur le corps évanoui, le susnommé Axo retourna dans son coin toujours sans un mot.

Fascinant. Comment ce gars là pouvait avoir conservé aussi bien son esprit alors qu'il était à un stade de décomposition au moins aussi avancé que la plupart des autres ressuscités ?

Le médecin cauchemardesque ouvrit une fiole qui trainait sur la table, en humât le contenu, puis, jugeant l'odeur à son gré, il la versa sur le dos nu du cadavre devant lui. Le liquide était épais, fumant, d'une couleur jaunâtre qui tirait presque sur le gris. L'apothicaire en répandit ainsi sur tout le corps de son patient, puis, le résultat semblant lui convenir, passa la main sur le visage de son cobaye. Il commença a tirer sur les chairs de la joue, à les griffer, les pincer, les tordre, pour juger de leur résistance et de leur souplesse. Il se pencha sur l'œil de Duncan, et, ouvrant ses paupières sans ménagements, inscrivant les traces de ses ongles jaunis dans la peau de l'inconscient, entreprit d'inspecter le globe oculaire. Il fit pareil avec l'autre œil, puis, prit une éprouvette rongée par la saleté sur la table, dans laquelle baignait une sorte de crème transparente. Il arracha l'un des cheveux filasse et gras du corps sans vie, et le plongea dans l'éprouvette.

S'emparant d'un fin couteau aiguisé, seul ustensile propre de la table de travail, il entreprit de trancher un doigt à son patient. Il accomplissait sa besogne en sifflotant un air rythmé, coupant net et sans bavure l'auriculaire ciblé, qu'il regarda un moment à la lumière des cuves après l'avoir prélevé puis qu'il déposa dans une éprouvette du même type que la précédente.

Un cri suffit à rappeler le mastodonte à l'air peureux, qui, sur un nouvel ordre, remit Duncan en cage tandis que l'Apothicaire se penchait déjà sur un gros livre de compte poussiéreux, sur lequel, après avoir pris le nécessaire pour écrire qui trainait sur la table, il inscrivit quelques mots d'une écriture grossière après avoir tracé une nouvelle colonne en fin de page.

Après avoir fait ça, il referma l'ouvrage d'un geste sec, reposa sa plume sans prêter attention au désordre de la table, et s'éloigna, le livre sous le bras, vers une porte de bois d'ébène au fond de la salle.

Saluant au passage ses collègues travaillant sur d'autres projets, il sortit du laboratoire pour se retrouver dans un petit couloir à peine éclairé de quelques torches et très oppressant. Les brandons avaient couvert de suie les murs de pierre déjà sombre à l'origine, donnant au dessus de chaque torchère, une large tâche noire.

L'apothicaire Voris ne prêtait aucune attention au décor lugubre des lieux, poursuivant son chemin en sifflotant toujours son air, suivant le couloir qui obliquait vers la gauche. Plusieurs portes c'étaient déjà présentés sur le côtés, mais il les ignora, avançant toujours jusqu'à arriver à une arche de pierre, après un élargissement soudain du couloir. L'arche donnait sur une grande pièce, bien plus grande que celle qu'il venait de quitter mais du même type, un laboratoire gigantesque présentant le même matériel que le sien. Au fond de la pièce, sur un fauteuil élégant drapé de pourpre, un greffier se tenait pencher sur un bureau bien rangé. Il portait des besicles, une longue robe du même noir que les apothicaires et des gants de lin fins qui camouflaient la moisissure de ses mains. C'est vers lui que se dirigea Voris, ignorant le travail de tout le monde ici, marchant toujours en sifflant. Les notes qu'il fredonnaient étaient étrange, sortaient difficilement de la seule partie de son visage qui n'était pas osseuse.

Le greffier releva les yeux en voyant s'abattre devant lui le livre de comptes de l'apothicaire, qui fit se soulever un petit nuage de poussière. Le lettré posa sa plume d'un geste délicat et tandis que l'autre continuait à siffler, il ouvrit le livre de comptes en réajustant ses bésicles sur son nez.

 

-Je voudrais le dossier complet de Duncan, dit Voris entre deux notes de son sifflement.

 

-C'est vous qui étudiez son cas ? demanda l'autre d'un air soupçonneux en feuilletant les comptes.

 

-Oui. Apothicaire Voris Claus.

 

-Ce dossier ne vous ai pas accessible, vous devez vous référer à vôtre chef de section si vous le voulez.

 

-Mais enfin, c'est moi qui travaille sur cet homme ! s'écria le médecin, agacé d'être ainsi contrecarré dans ses plans.

 

-Ce dossier est en importance primaire, seuls les chefs de section y ont accès, finit le greffier d'un ton plat en apposant sa marque en bas de la colonne ajoutée récemment dans les comptes. Vous pouvez y aller.

 

Voris n'ajouta rien, c'était parfaitement inutile avec cet idiot borné. Le cas de son patient l'intéressait plus que tout, et il voulait son dossier. Cependant, il faudrait jouer serrer avec son chef de section si il le voulait. Le Grand Apothicaire Demrich ne le tenait pas en haute estime, ses travaux était à ses yeux inutiles. Lui voulait absolument parvenir à renforcer un cadavre déjà réanimé à l'aide de morceaux d'autres corps. Il voulait des morts plus résistants, plus forts et toutes les études qui n'allait pas dans ce sens lui semblaient vaine, voire même contreproductive. Souvent il éclatait au milieu de sa section, accusant les travailleurs de tenter de retarder son projet.

Le médecin reprit tranquillement sa route après avoir repris son livre. Son air sifflé lui revint instantanément en bouche, comme une rengaine que son esprit lui imposait. Il reprit le couloir vers son laboratoire, s'interrogeant sur son patient. Un dossier d'importance primaire signifiait que le nouveau avait été puissant de son vivant, et qu'il pouvait être dangereux s'il n'était pas maitrisé. Peut-être un grand mage. En tout cas, pour avoir conserver autant de sensations jusqu'ici, ce Duncan n'était pas n'importe qui. Au moins, l'apothicaire avait eu la présence d'esprit de commencer ses tests alors que le nouveau était inconscient. Une bonne chose, car il ignorerait les traitements subis par son corps, au moins dans un premier temps. Quoi qu'il en soit, il avait hâte d'étudier le nouveau dès son réveil.

Modifié (le) par Brundror
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J'adore toujours autant ton histoire, mais bon sang, c'est super glauque ! xD Il lui coupe un doigt, comme ça. J'ai vu moins de fautes qu'au premier chapitre, mais il y en avait quand même !

Il y a 3 heures, Brundror a dit :

Toute les couleurs de la décomposition étaient représentés

Rien que ça, tu peux me le corriger en te relisant. Même à ton propre personnage principal tu as fait une faute ! Enfin bon, je critique, je critique, mais c'est un très bon texte. La suite !

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J'aime ! ^^

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Ça se laisse lire, sans trop abuser de détails (je hais les moments où je lis dix adjectifs pour un même mot). J'attends la suite!

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magnifiques chapitres,je n'attends que la suite !!

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